Jean-Marc vit dans une cabane située dans les décombres des sons de l'ARFI, récupérant les instruments négligés et autres babioles sonores tout en pistant les empreintes musicales oubliées en chemin. Pour trouver sa cabane il faut se placer dans l'axe symétrique aux engins encombrants d'Alfred Spirli et suivre le silence sur quelques mètres jusqu'à percevoir une petite musique immobile. C'est là qu'il habite.
Parfois il rend visite aux voisins avec sa trompette, plus précisément un cornet à piston. Il est d'ailleurs l'un des seuls trompettistes, plus précisément cornettiste à piston, dont le nom est composé de trois prénoms. Il y a bien Maurice André mais ça ne fait jamais que deux prénoms.
Directeur de Recherche Musicologique à l'Université des rebuts industriels et diplômé d'un Masters marché aux puces multi-instrumentistes, c'est tout naturellement qu'il collabore avec Alfred Spirli pour créer le spectacle La Souplesse de le baleine. Il fait aussi du défrichage et du terrassement pour construire sa cabane dans La Marmite Infernale.
Par le passé, on a pu l'entendre dans les Passants et Darkpoe.
Sa formation professionnelle l’amène à partager son sens de la débrouille en menant des ateliers de lutherie sauvage à partir d'objet de récupération. Quand il est en vadrouille on peut aussi l'entendre avec la Fanfare d'Occasion et la Compagnie Brouniak.